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Le commissaire nage en eaux troubles...
Quelques bulles et plus rien... Du cté de Chateauneuf-Du-Faou, le canal de Nantes à Brest ne ressemble plus à un long fleuve tranquille. Depuis quelques mois, on s'y noie ferme! Accidents, suicides? On dit que les crimes sont souvent commis en période de lune montante. C'est à l'écluse 218 qu'on assassine!
Des chats disparaissent aux abords des cimetières. Une fatigue soudaine atteint les jeunes filles du canton. Les retraités fortunés n'ont plus goût à la vie. La mystérieuse résidence htelière des Jardins de Lagad propose des cures de jouvence. Rajeunissement garanti! Le commissaire Landowski ne croit pas aux arts divinatoires. Pourtant, Marie-Jeanne, voyante occasionnelle, approche de la vérité. À en avoir froid dans le dos... Au pied du château de Trévarez, Lando mènerait-il son ultime enquête?
Suivez le commissaire Landowski dans le 17e volet de ses enquêtes palpitantes, au sein d'une mystérieuse résidence htelière!
EXTRAIT
Pour être dépouillés de leurs avoirs et de leurs biens, il faut qu'ils meurent. Pour que le doute ne s'insinue pas dans les esprits, il faut qu'ils meurent proprement.
Les instigateurs de leur enlèvement n'ont pas d'autre choix. Depuis le début de l'opération, l'exécution fait partie de leur projet, mais il s'agit de présenter les choses comme un suicide, au minimum comme un accident si les constatations d'usage laissent la porte ouverte à une autre interprétation. L'assassinat programmé doit rapporter gros. On ne s'attaque pas à du menu fretin. C'est un investissement et c'est un risque. Si la brigade de recherches s'oriente sur la piste d'un crime, c'est clos cacheté. Adieu le pactole et bonjour les emmerdes!
Du cté des victimes programmées, ce n'est pas tout à fait la même chanson. En désespoir de cause, ils souhaiteraient en finir au plus vite puisqu'ils savent tous les deux qu'on va prendre leur vie. Leur fin est inéluctable. Elle est gravée dans la machination qu'ils n'ont comprise que trop tard.
Ils ne peuvent pas dire qu'ils sont pressés de mourir. Tant qu'il y a de la vie, il reste un espoir. Même si cette notion est intellectuelle et dérisoire. Il n'y a que la souffrance qui puisse dicter ce choix. C'est la peur qui les fait appeler la mort de toutes leurs forces, dans un silence très lourd.
Quelques bulles et plus rien... Du cté de Chateauneuf-Du-Faou, le canal de Nantes à Brest ne ressemble plus à un long fleuve tranquille. Depuis quelques mois, on s'y noie ferme! Accidents, suicides? On dit que les crimes sont souvent commis en période de lune montante. C'est à l'écluse 218 qu'on assassine!
Des chats disparaissent aux abords des cimetières. Une fatigue soudaine atteint les jeunes filles du canton. Les retraités fortunés n'ont plus goût à la vie. La mystérieuse résidence htelière des Jardins de Lagad propose des cures de jouvence. Rajeunissement garanti! Le commissaire Landowski ne croit pas aux arts divinatoires. Pourtant, Marie-Jeanne, voyante occasionnelle, approche de la vérité. À en avoir froid dans le dos... Au pied du château de Trévarez, Lando mènerait-il son ultime enquête?
Suivez le commissaire Landowski dans le 17e volet de ses enquêtes palpitantes, au sein d'une mystérieuse résidence htelière!
EXTRAIT
Pour être dépouillés de leurs avoirs et de leurs biens, il faut qu'ils meurent. Pour que le doute ne s'insinue pas dans les esprits, il faut qu'ils meurent proprement.
Les instigateurs de leur enlèvement n'ont pas d'autre choix. Depuis le début de l'opération, l'exécution fait partie de leur projet, mais il s'agit de présenter les choses comme un suicide, au minimum comme un accident si les constatations d'usage laissent la porte ouverte à une autre interprétation. L'assassinat programmé doit rapporter gros. On ne s'attaque pas à du menu fretin. C'est un investissement et c'est un risque. Si la brigade de recherches s'oriente sur la piste d'un crime, c'est clos cacheté. Adieu le pactole et bonjour les emmerdes!
Du cté des victimes programmées, ce n'est pas tout à fait la même chanson. En désespoir de cause, ils souhaiteraient en finir au plus vite puisqu'ils savent tous les deux qu'on va prendre leur vie. Leur fin est inéluctable. Elle est gravée dans la machination qu'ils n'ont comprise que trop tard.
Ils ne peuvent pas dire qu'ils sont pressés de mourir. Tant qu'il y a de la vie, il reste un espoir. Même si cette notion est intellectuelle et dérisoire. Il n'y a que la souffrance qui puisse dicter ce choix. C'est la peur qui les fait appeler la mort de toutes leurs forces, dans un silence très lourd.
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- SeriesLes enquêtes du commissaire Landowski #17