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Trois cadavres jalonnent la nouvelle enquête du commissaire Baron!
Un cadavre abandonné dans une malle sur un quai du port de Nantes; un second, sur une île déserte ; un troisième, dans une chambre d'htel fermée de l'intérieur. Deux hommes et une femme « innocents » précise l'assassin qui propose au commissaire Nazer Baron un jeu de piste machiavélique. À ce dernier de déjouer les apparences pour exhumer de tragiques vérités...
Découvrez sans plus attendre une enquête du commissaire Baron sur les traces d'un assassin joueur et cruel.
EXTRAIT
Baron avait tendu la main. Le message était un simple feuillet glissé dans son sachet de protection, un document anonyme sur lequel avaient été collées des lettres irrégulières découpées dans des journaux. La taille des caractères en était variable, l'impression également, la qualité du papier changeait...
Baron déplaça lentement son regard. Sur l'avertissement retrouvé dans la poche de Boris Frilac, le laboratoire était parvenu à identifier sept origines différentes. Jamais de mot complet, uniquement des lettres, grandes ou petites, fines ou grasses, dix-sept exactement, récupérées dans des quotidiens et des revues.
« Le second innocent »
Rien d'autre. Pas de signature et sûrement pas d'empreintes. Baron raccrocha le fil de ses souvenirs. Boris Frilac, l'homme de la malle du quai des Antilles, avait bien été le premier.
- C'est votre homme? s'inquiéta Blanlœil.
Les textes étaient rigoureusement identiques, à un mot près... Ça signifiait quoi? Qu'un troisième innocent suivrait, un quatrième...? Baron en avait soudain froid dans le dos.
- Les mêmes mots, le même papier... jugea-t-il en parcourant la feuille des yeux, une dernière fois.
- Vous savez ce que ça veut dire?
Il remua négativement la tête, faisant involontairement sauter quelques gouttes d'eau du bord de son chapeau.
- Pas pour l'instant, dit-il.
C'était au moins la centième fois qu'il lisait ces mots. Ça ne lui servait à rien. Les revues et les journaux dans lesquels avaient été découpés les caractères n'étaient pas des publications confidentielles, avec des listes d'abonnés qu'ils auraient pu éplucher.
Un cadavre abandonné dans une malle sur un quai du port de Nantes; un second, sur une île déserte ; un troisième, dans une chambre d'htel fermée de l'intérieur. Deux hommes et une femme « innocents » précise l'assassin qui propose au commissaire Nazer Baron un jeu de piste machiavélique. À ce dernier de déjouer les apparences pour exhumer de tragiques vérités...
Découvrez sans plus attendre une enquête du commissaire Baron sur les traces d'un assassin joueur et cruel.
EXTRAIT
Baron avait tendu la main. Le message était un simple feuillet glissé dans son sachet de protection, un document anonyme sur lequel avaient été collées des lettres irrégulières découpées dans des journaux. La taille des caractères en était variable, l'impression également, la qualité du papier changeait...
Baron déplaça lentement son regard. Sur l'avertissement retrouvé dans la poche de Boris Frilac, le laboratoire était parvenu à identifier sept origines différentes. Jamais de mot complet, uniquement des lettres, grandes ou petites, fines ou grasses, dix-sept exactement, récupérées dans des quotidiens et des revues.
« Le second innocent »
Rien d'autre. Pas de signature et sûrement pas d'empreintes. Baron raccrocha le fil de ses souvenirs. Boris Frilac, l'homme de la malle du quai des Antilles, avait bien été le premier.
- C'est votre homme? s'inquiéta Blanlœil.
Les textes étaient rigoureusement identiques, à un mot près... Ça signifiait quoi? Qu'un troisième innocent suivrait, un quatrième...? Baron en avait soudain froid dans le dos.
- Les mêmes mots, le même papier... jugea-t-il en parcourant la feuille des yeux, une dernière fois.
- Vous savez ce que ça veut dire?
Il remua négativement la tête, faisant involontairement sauter quelques gouttes d'eau du bord de son chapeau.
- Pas pour l'instant, dit-il.
C'était au moins la centième fois qu'il lisait ces mots. Ça ne lui servait à rien. Les revues et les journaux dans lesquels avaient été découpés les caractères n'étaient pas des publications confidentielles, avec des listes d'abonnés qu'ils auraient pu éplucher.