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L'assassinat sauvage d'une vieille femme dans un petit village du Finistère ...
Après une longue période professionnelle dans les Stups à Nice (voir Mortels Trafics), Léanne vient d'être nommée à la tête de la Police judiciaire finistérienne, quand le sauvage assassinat d'une vieille dame, Corentine Ledantec, trouble la quiétude de la commune de Combrit en Pays bigouden. Qui pouvait en vouloir autant à cette nonagénaire, certes fielleuse ?
L'enquête est confiée à la commandant qui lance les investigations avec des méthodes déroutant parfois ses collègues, mais pour elle, nécessité fait loi. Épaulée par ses amies de jeunesse - Élodie, devenue médecin légiste, et Vanessa, psychologue dans la police nationale - Léanne devra démêler l'écheveau des haines larvées qui animent les malfrats les plus retors comme les gens sans histoires. Suspense, action, Bretagne et musique sont au cœur de cette intrigue inspirée de faits réels, qui met à nouveau en scène le personnage de Léanne, héroïne de Mortels Trafics (Prix du Quai des Orfèvres 2017, 120 000 exemplaires vendus), pour le premier tome d'une série qui s'annonce tout aussi passionnante que les précédents ouvrages de l'auteur.
Pourquoi la vieille dame a-t-elle été tuée ? Qui sont les assassins ? Découvrez cette formidable enquête pleine d'action et de suspense qui met en scène la commandant Léanne en Pays Bigouden !
EXTRAIT
Ce fut encore agacée par la discussion que Léanne enfila la tenue de protection qu'elle compléta d'une charlotte, de gants et de surchaussures. Spécialisée dans les stups pendant de nombreuses années, elle n'avait pas trop l'habitude de ce déguisement. Là o certains voyaient une tenue de cosmonaute, elle avait l'impression de se cacher dans un préservatif géant. Elle s'énerva sur la fermeture de la combinaison avant que la glissière accepte de se fermer.
Elle s'approcha enfin de la maison. Il s'agissait d'un pavillon à un étage, bordé par un jardinet d'une dizaine de mètres de large. L'accès à l'habitation se faisait soit par une porte centrale, desservie par un escalier en façade, soit sur le cté, en passant par la cave puis un escalier intérieur.
Elle prit par l'entrée principale. Un vestibule desservait sur la gauche une cuisine, sur la droite, une salle à manger avec à l'arrière un coin salon, ce fut là qu'elle trouva le gros de la troupe.
Le corps était étendu sur le sol, face contre terre.
Après une longue période professionnelle dans les Stups à Nice (voir Mortels Trafics), Léanne vient d'être nommée à la tête de la Police judiciaire finistérienne, quand le sauvage assassinat d'une vieille dame, Corentine Ledantec, trouble la quiétude de la commune de Combrit en Pays bigouden. Qui pouvait en vouloir autant à cette nonagénaire, certes fielleuse ?
L'enquête est confiée à la commandant qui lance les investigations avec des méthodes déroutant parfois ses collègues, mais pour elle, nécessité fait loi. Épaulée par ses amies de jeunesse - Élodie, devenue médecin légiste, et Vanessa, psychologue dans la police nationale - Léanne devra démêler l'écheveau des haines larvées qui animent les malfrats les plus retors comme les gens sans histoires. Suspense, action, Bretagne et musique sont au cœur de cette intrigue inspirée de faits réels, qui met à nouveau en scène le personnage de Léanne, héroïne de Mortels Trafics (Prix du Quai des Orfèvres 2017, 120 000 exemplaires vendus), pour le premier tome d'une série qui s'annonce tout aussi passionnante que les précédents ouvrages de l'auteur.
Pourquoi la vieille dame a-t-elle été tuée ? Qui sont les assassins ? Découvrez cette formidable enquête pleine d'action et de suspense qui met en scène la commandant Léanne en Pays Bigouden !
EXTRAIT
Ce fut encore agacée par la discussion que Léanne enfila la tenue de protection qu'elle compléta d'une charlotte, de gants et de surchaussures. Spécialisée dans les stups pendant de nombreuses années, elle n'avait pas trop l'habitude de ce déguisement. Là o certains voyaient une tenue de cosmonaute, elle avait l'impression de se cacher dans un préservatif géant. Elle s'énerva sur la fermeture de la combinaison avant que la glissière accepte de se fermer.
Elle s'approcha enfin de la maison. Il s'agissait d'un pavillon à un étage, bordé par un jardinet d'une dizaine de mètres de large. L'accès à l'habitation se faisait soit par une porte centrale, desservie par un escalier en façade, soit sur le cté, en passant par la cave puis un escalier intérieur.
Elle prit par l'entrée principale. Un vestibule desservait sur la gauche une cuisine, sur la droite, une salle à manger avec à l'arrière un coin salon, ce fut là qu'elle trouva le gros de la troupe.
Le corps était étendu sur le sol, face contre terre.
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- SeriesLes trois brestoises #1